mardi 20 octobre 2015

Accompagnement au changement

Changer : modifier, rendre différent, devenir autre, faire autrement, remplacer, convertir, transformer...

Changement : le changement désigne le passage d'un état à un autre. L'on parlera, selon la nature, la durée et l'intensité de ce passage, d'évolution, de révolution, de transformation, de métamorphose, de modification, de mutation... Il s'exerce dans des domaines très divers et à des niveaux très divers...

Accompagnement : se dit pour une personne qui en aide une autre dans diverses situations de vie.

 Accompagnement au changement à Marseille 13
 Accompagnement au changement à Marseille 13
Je veux ou je désire changer ?
Qu’est-ce-que je veux ou désire changer ?
Ce changement, va t’il générer quelque chose en moi ?
RÔLE DU #COACH - RÔLE DU COACHING

Vous accompagner tout au long du processus de changement, 
de la situation actuelle à la situation désirée.

Travailler avec vous sur l’élaboration, l’action et l’impact du processus de changement ainsi que les états émotionnels pendant le processus de changement et de transformation...

jeudi 1 octobre 2015

Expatriation : les femmes mettent souvent leur carrière en suspens

Expatriation : dans 90% des cas, ce sont les femmes qui prennent le risque de mettre leur propre carrière en suspens.
Les maris, eux, seraient rarement prêts à faire des sacrifices pour suivre leur chère et tendre, selon une étude réalisée par Expat Communication.

Tout plaquer pour partir avec l'autre ? 
Tous les couples caressent un jour ce désir d'aventures. Mais, dans les faits, ce sont en grande majorité les femmes qui prennent le risque de mettre leur carrière en suspens pour accompagner leur homme. Quitte à s'en mordre parfois les doigts. Car le chômage est souvent au au rendez-vous si l'on en croit l'étude menée récemment par Expat Communication auprès de 3 000 expatriés français, notamment via le réseau Femmexpat.
 Coaching expatriation Marseille 13
 Coaching expatriation Marseille 13

Aujourd'hui 91% des conjoints d'expatriés sont des femmes.
Cette proportion correspond bien sûr aux traditions de l'expatriation : c'est généralement aux hommes que l'on propose de partir pour des raisons professionnelles. Les femmes ne représentent, elles, que 14% des professionnels envoyés à l'étranger. Parmi cette maigre proportion de femmes, qui accordent en général beaucoup d'importance à leur carrière, le célibat est particulièrement fréquent. Il concerne un tiers d'entre elles. Et pour celles qui sont en couple, un célibat géographique s'installe souvent : « Car les conjoints suivent moins souvent... Ils ont peur de ne pas trouver de travail là-bas. », explique Alix Carnot directrice des carrières internationales chez Expat Co
mmunication.

La difficulté de trouver un emploi...
Un emploi au rabais qui dévalorise...
L'expatriation néfaste pour la carrière du conjoint...

Lire la suite de l'article sur le site de Madame Figaro...>>
Racontez votre expatriation en envoyant votre témoignage à lquillet@lefigaro.fr et Jfeutry@lefigaro.fr

Coaching personnel 13...>>
Coaching professionnel Marseille...>>

dimanche 16 août 2015

Retour d'expariation difficile pour les français

Dans un document remis à Manuel Valls, la sénatrice Hélène Conway-Mouret pointe du doigt les difficultés du retour en France après avoir vécu à l'étranger et propose de simplifier les démarches.
Ils seraient entre 2,1 et 2,5 millions. Le nombre de Français à l’étranger augmente chaque année. On parle souvent de ces Français qui partent – la fameuse « fuite des cerveaux ».

 Retour pays d'origine
 Retour pays d'origine
On aborde beaucoup plus rarement ceux qui rentrent en France.
En 2014, 220 000 Français sont revenus. Dans leurs valises, des expériences et des souvenirs. Mais aussi beaucoup d’ennuis causés par la lenteur et la lourdeur de l’administration française. Beaucoup imaginent que le retour est facile, car il se fait dans son pays. C’est faux. Certains ont quitté la France depuis plusieurs années et ne sont plus au fait de notre administration.

SIX À DIX MOIS POUR ÊTRE EN RÈGLE
Comment trouver un logement sans justifier de ses trois bulletins de salaires et sans quittance de loyer ? Comment joindre la CAF alors que son numéro ne fonctionne pas de l’étranger, trouver en emploi ou inscrire son enfant dans un établissement scolaire sans justifier d’une adresse en France ? Le retour peut vite devenir un parcours semé d’embûches.

Des coachs et des associations existent pour vous aider à vous installer à l’étranger et pour votre retour...

Coaching expatriés impatriés...>>

Ces problèmes sont compilés dans le rapport de la sénatrice. Pendant six mois, 7 000 témoignages ont été recueillis via un questionnaire en ligne. Une trentaine de personnes ont été interrogées en entretien.
« Les gens se sont lâchés, souffle la sénatrice, ils ont tous pointé le même imbroglio et le casse-tête de l’administration : une absence d’interlocuteur unique, des documents demandés plusieurs fois ou des documents étrangers déclarés irrecevables. »
Il faut compter entre six et dix mois pour être définitivement en règle avec toutes les administrations. Un vrai combat qui aurait des effets néfastes, selon l’auteur du rapport :
« Les expatriés se sentent étrangers, hors du cadre, indésirés. Et beaucoup repartent. »

Parmi les mesures fortes proposées : la mise en place d’un service en ligne individualisé sur le retour en France pour pallier l’absence d’un interlocuteur unique et harmoniser les démarches administratives ; mieux informer les conseillers de Pôle Emploi des problématiques de réinsertion professionnelle des expatriés ; permettre plus facilement les démarches depuis l’étranger ; développer les échanges de données entre les administrations pour éviter de reproduire les mêmes formalités auprès de plusieurs administrations différentes.

Et pour «mettre en œuvre l’ensemble de ces préconisations», Hélène Conway-Mouret va demander «la nomination d’un coordinateur interministériel». Autant de solutions accueillies favorablement par les associations mais qui n’englobent pas toutes les problématiques du retour, selon Anne-Laure Fréant : «L’administratif est un problème "gérable" par les pouvoirs publics, mais la réinsertion professionnelle et les problématiques psychologiques et familiales comme le décalage ressenti ou les difficultés des enfants biculturels à s’adapter sont plus durables et bien plus difficiles à résoudre.»
Source www.liberation.fr

Coaching retour pays d'origine...>>

lundi 20 juillet 2015

Expatriation, les français bougent

Chaque année, entre 60000 et 80000 personnes quittent la France pour s'installer à l'étranger, guidées par l'envie de booster leur carrière, d'élargir leurs horizons ou, tout simplement, d'inventer leur bonheur ailleurs. Une prise de risque pas toujours facile à faire accepter...

Un coup d'oeil sur le forum d'Expat United, réseau social (gratuit) destiné aux expatriés, suffit à mesurer l'ampleur du phénomène : quels que soient leur âge, leur milieu social, leur situation professionnelle et personnelle, nos compatriotes fourmillent d'envie de larguer les amarres.

En dix ans, le nombre de Français installés à l'étranger a augmenté de 35% (soit 60000 à 80000 émigrants supplémentaires par an) ; au 31 décembre 2013, 1,642 million de personnes étaient inscrites au Registre mondial des Français établis hors de France. Et encore, "C'est la moitié de la réalité !", estime Hélène Charveriat, déléguée générale de l'Union des Français de l'étranger, qui, avec les non-inscrits, chiffre même cette population à trois millions.
 Coaching professionnel Marseille
Coaching professionnel Marseille
"Trouver un endroit où se faire une place"
Avant d'être un enjeu politique, l'expatriation est d'abord une aventure personnelle aux desseins mêlés, et aux ressorts intimes. Certes, il y a du pragmatisme dans ce désir-là, notamment chez les jeunes diplômés, qui voient dans le départ une bonne façon d'ouvrir le champ des possibles : un poste plus intéressant, une progression de carrière plus rapide, un salaire parfois plus élevé, un emploi tout simplement, à l'heure où la crise paralyse l'embauche en France. Selon le baromètre 2014 de l'humeur des jeunes diplômés, réalisé par le cabinet Deloitte, plus d'un sur quatre voit son avenir professionnel à l'étranger...
Acquérir de l'expérience et des responsabilités, mettre de l'argent de côté et rentrer dans cinq ou dix ans... "Depuis leurs études, les jeunes vivent sans frontières", confirme Fabrice Mazoir, chef de projet éditorial de jobtrotter.com, un site dédié à la mobilité professionnelle à l'international. "Ils vont là où il y a du travail, et l'étranger est toujours un atout dans un CV. La motivation première, c'est trouver un endroit où se faire une place."
Même s'il faut parfois, pour cela, affronter le scepticisme ou les jalousies. Et savoir résister aux sirènes de l'immobilisme.

Comme un pari sur l'inconnu
Quitter sa zone de confort, parier sur l'inconnu pour embellir sa destinée : l'idée ne séduit pas seulement les moins de 30 ans aux attaches encore lâches. Les cadres aussi y songent fortement ­selon une récente étude du cabinet Boston Consulting Group, 94% d'entre eux se disent prêts à aller travailler à l'étranger (ou ont déjà sauté le pas). Et puis, "on oublie souvent de le dire, mais les familles aussi partent, guidées par le besoin de s'épanouir, de construire quelque chose qui leur ressemble", rappelle Hélène Charveriat.

C'est vrai qu'au départ, prendre autant de risques avec des enfants passait pour de la folie ! Mais nous sommes fiers de leur avoir montré qu'il ne faut pas hésiter à aller chercher son bonheur là où il se trouve. Même s'il faut parfois s'acharner..."Et accepter de laisser une partie de sa vie derrière soi, quitte à faire preuve d'un peu d'"égoïsme", observe la psychanalyste et coach Luce Janin-Devillars, auteur de Changer sa vie. Il n'est jamais trop tard (Michel Lafon). "Une telle décision suppose de prendre la mesure de ce qu'on va gagner et perdre, surtout qu'on laisse souvent de la famille en France... Partir exige d'être suffisamment sensible pour s'adapter au changement mais aussi apte à supporter la frustration et la critique."
"Désormais, chez moi, c'est ici"
Car, entre difficultés financières, choc culturel et éloignement familial, tout n'est pas forcément rose là où l'herbe est plus verte. "En France, les gens pensent que la vie d'expat' est incroyable, fait remarquer Anne Sellès, qui a passé un an autour du monde à interroger nos compatriotes émigrés. Mais il n'y a pas que des success stories comme on voit dans les médias ! Il y a aussi des Français normaux, qui ont une existence banale mais différente. Sans compter que les raisons qui poussent à partir peuvent dépasser l'entendement..."

Français de l'étranger : où sont-ils? Que font-ils?
Près de 51% d'entre eux résident en Europe (UE ou non).L'Amérique du Nord représente la deuxième destination des expatriés (13%).
Leurs secteurs d'emploi de predilection sont les services (commerce, tourisme, restauration...) pour 27% d'entre eux, l'education (14%), l'industrie (13%), l'administration (9%), les organisations internationales (8%) et les activites financieres (7%).
57% d'entre eux gagnent plus de 30000 euros nets par an (en 2012, le salaire médian français était de 20720 euros). 2 expatriés sur 10 sont des créateurs d'entreprise (contre 1 sur 10, il y a dix ans).financières (7%).

Source: "L'expatriation des Français, quelle réalité?", enquête réalisée, en mars 2014, par la Chambre de commerce et d'industrie de Paris-Ile-de-France.





mercredi 1 juillet 2015

Agir en coach, un livre passionnant

 Coaching professionnel
 Coaching professionnel

Reparution du livre "Agir en Coach - les bonnes pratiques du coaching professionnel" co-écrit par neuf coachs membres de la FFC Pro.

Cette nouvelle édition comporte de nombreuses mises à jour et compléments, même si l'esprit et le contenu global restent similaires. Paru initialement en 2007, l'ouvrage en était déjà à son deuxième tirage dès 2008.

Ce livre, pensé et soutenu par la Fédération, se veut à la fois théorique et pratique. Il a pour objectif d'expliquer simplement ce qu'est le métier de coach professionnel, et ouvre ainsi un chemin vers la professionnalisation du métier de coach.

Il donne la parole à des coachs qui pratiquent le métier dont ils parlent, pour permettre aux décideurs, aux prescripteurs, aux utilisateurs de coaching ainsi qu'aux coachs futurs professionnels de trouver des réponses à leurs principales questions sur le sujet, apportées par des professionnels du métier.



"Agir en Coach - les bonnes pratiques du coaching professionnel"
Edité chez ESF, collection Formation permanente.

vendredi 12 juin 2015

Expatriation : madame travaille, monsieur suit...

Si le phénomène reste encore marginal, l’homme qui suit sa femme en expatriation est un cas de moins en moins isolé. Comment vivent-ils leur rôle d’homme au foyer à l’autre bout du monde ? Réussissent-ils à trouver leur équilibre ?

Ces "conjoints suiveurs" masculins sont-ils nombreux ?

Difficile à dire car on manque d’études précises sur le sujet, mais leur proportion ne dépasserait pas les 10 %. Ce que l’on sait, en revanche, c’est que les expatriés nous affirment en voir de plus en plus. Une tendance qui s’explique par le rajeunissement de la population des expatriés français, mais aussi par la précarité de l’emploi en France : dans un couple, lorsque l’un des deux a une opportunité à l’étranger, homme ou femme, on n’hésite pas longtemps !

 Coaching expatriés impatriés
 Coaching expatriés impatriés

Quelle est la situation professionnelle de ces couples ?

Le seul élément dont on dispose est une enquête de la MFE (Maison des Français de l’étranger) de 2013 qui affirme que les conjoints suiveurs hommes travaillent pour 75 % d’entre eux, contre seulement 53 % des femmes dans la même situation. L’explication est en partie financière car la disparité de revenus entre hommes et femmes est aussi une réalité à l’étranger : 60 % des femmes expatriées ont un revenu inférieur à 30 000 € par an, alors que 67 % des hommes dans la même situation gagnent plus de 30 000 € par an.

Existe-t-il un profil type du conjoint "suiveur" masculin ?
D’après les professionnels qui font de l'accompagnement au changement auprès des conjoints dans cette situation, les deux cas que l’on rencontre le plus souvent sont le couple d’une quarantaine d’années, déjà installé avec des enfants, dont la femme a décroché un poste intéressant à l’étranger, et le jeune couple de 25-30 ans qui tente l’aventure de l’international sans avoir de poste fixe.

Quelle est la différence ?
L’âge et la situation de famille ont un impact sur la manière dont est vécue la situation du conjoint suiveur homme. D’expérience, la situation est plus difficile à assumer pour la tranche d’âge supérieure. L’homme part avec l’idée de trouver un job sur place, ce qui s’avère parfois bien plus compliqué que prévu. Le fait d’avoir des enfants et d’évoluer dans des cercles d’expatriés plus classiques, pour ne pas dire traditionnalistes dans certains pays, avec des rôles bien normés, ne facilite pas les choses.

Que peut-on conseiller à ces conjoints suiveurs qui vivent mal leur situation ?
De devenir moteurs plutôt que suiveurs ! Profiter de ce moment pour bâtir un nouveau projet, qu’il soit professionnel ou personnel. Certains reprennent une formation via internet, ce que le e-learning et les MOOC, ces formations en ligne ouvertes à tous, ont rendu possible. D’autres se mettent à leur compte et créent une entreprise « sac à dos »,  c’est à dire100 % web et transposable partout. Pour ce projet, on peut se faire accompagner par un coach ou prospecter soi-même...
Source franceinfo.fr


vendredi 22 mai 2015

Accepter de bien vieillir

Accepter de bien vieillir et devenir un senior

Michele Freud* dirige un cabinet de Sophrologie dans le sud est. Voici un article très interressant, disponible sur son blog, qui nous propose une reflexion autour des #seniors , de la #retraite, et de l'importance qu'il y a à apprécier et profiter de cette tranche de vie qu'est l'âge d'or...

"S’il est vrai que la vieillesse peut se révéler être une période féconde et intense de la vie, il nous faut reconnaître, dans une société où le jeunisme fait loi, qu’il n’est pas bon de se sentir vieillir. Dès la cinquantaine on sent planer le spectre de la retraite et de la mise au rancart de la société. On commence à songer avec inquiétude à la façon de négocier cette nouvelle tranche de vie où nos choix seront plus restreints, notre vie amoureuse moins passionnante et notre santé plus précaire.

Nous vieillirons tous, c’est une réalité incontournable, que nous le voulions ou non.
Chaque jour qui passe nous rapproche de cette tranche de vie que l’on appelle « l’âge d’or ». Certains l’acceptent et semblent vieillir en beauté, alors que d’autres se réfugient dans la plainte, la rancoeur ou la colère contre tout un système dont ils se sentent de plus en plus rejetés.

Le temps de la retraite
Selon les sociologues, il s’agit d’un cap complexe à passer, bien que la plupart des seniors soient ravis à l’idée de profiter pleinement de leur liberté nouvelle. Certains ont pu s’y préparer et amorcer cette rupture avec douceur, d’autres la perçoivent sur le mode d’une perte cruelle.
Même vécue progressivement, c’est une étape délicate, le déséquilibre, l’angoisse et un certain vide sont susceptibles de s’installer, avec quelquefois une tonalité dépressive. Passage presque obligé qui permet au deuil de s’élaborer, car il s’agit bien là d’un deuil à vivre. Aucun processus autre que le vieillissement ne sollicite autant la capacité à devoir composer avec nos pertes et nos deuils. Il nous faut pourtant accepter cette étape et savoir que la maturité est aussi porteuse de sagesse et de dignité.

 Accompagnement au changement Marseille Aix-en-provence
 Accompagnement au changement Marseille Aix-en-provence

Repenser sa vie, en solo ou en couple
C’est aussi le temps où l’on doit s’adapter dans cette nouvelle tranche de vie, que l’on soit seul ou en couple.

En couple, il s’agit parfois d’une aventure héroïque qui relève même de l’exploit car il faut apprendre à co-habiter à deux sur un mode différent puisque l’on se retrouve en permanence ensemble, trouver les moyens de respirer pour éviter l’inéluctable érosion.

« Depuis que mon mari a pris sa retraite, je suis complètement déstabilisée, il est là, sur mon dos, je ne me rendais pas compte avant de la vie indépendante que j’avais. Tout à coup, je me sens étouffée par sa présence permanente. »
Il faut s’adapter, être prêt aux compromis. La femme voit son domaine soudain investi par son mari. Lui, perdant son identité sociale, de plus en plus émasculé dans sa vie conjugale, a besoin de se retrouver, ne sait où se réfugier et finit par se sentir en trop ; les conflits éclatent pour des petits riens et l’ambiance devient vite délétère. Il se met à regretter ce passé où, dans sa profession, il se sentait au moins reconnu dans sa fonction, alors il se replie dans son monde en tentant de trouver son nouvel espace de vie.

« Mon mari s’est aménagé une pièce où il passe ses journées à pianoter devant son ordinateur, il est connecté en permanence sur Internet et communique avec le monde entier, sauf avec moi. Je ne le vois qu’à l’heure des repas, ce n’est pas ainsi que j’envisageais la retraite, il ne bouge même plus de sa chaise ! » se plaint Ariane.
C’est le temps des bilans, mais aussi des crises, on se cherche, on n’arrive plus à se retrouver et on se demande même s’il ne faut pas se quitter ou consulter un spécialiste car le sexe ne marche plus. Conserver une vie sexuelle active n’est pas forcément évident malgré la pression sociale vantant l’immortalité du désir. Les troubles sexuels liés à l’âge sont légion, il faut l’admettre. Pourtant, certains couples enfin disponibles l’un pour l’autre, découvrent le plaisir d’une nouvelle sexualité dans un système d’échange différent et vivent cette étape dans un plein épanouissement.

Selon les sondages, dans la majorité des couples qui prennent de l’âge, la sexualité n’occupe pas une place dominante. Il y a dans ce domaine, des attentes inégales, pour certains, elle est essentielle, pour d’autres totalement accessoire. Bien qu’elle perdure après l’âge de la retraite, elle se modifie dans une continuité dynamique, le plaisir du couple se mue en un désir de partager, d’être ensemble, dans une tendresse et une complicité réciproques, pas forcément au travers d’un rapport sexuel.

Seul, on doit faire face à la solitude avec beaucoup de temps pour soi, quelquefois, le trop de solitude est là, présent, pesant et douloureux !
C’est souvent l’heure des bilans et des interrogations : Avons-nous fait le bon choix en restant seul ? Faut-il continuer à cheminer en solo sur cette route encore longue ? Autant de questions auxquelles on ne trouve pas forcément de réponse.

Hommes-femmes sous l’influence hormonale
L’homme est soumis, tout comme la femme, , à des variations hormonales complexes qui influencent sa sexualité et son humeur. Il peut être concerné par l’andropause qui ne touche pas forcément tous les hommes et n’a pas, contrairement à la ménopause, d’incidence sur la fertilité qui peut persister même à un âge avancé. Elle se manifeste par une diminution lente et progressive des capacités sexuelles. A cette période de vie, les érections ainsi que le désir sexuel diminuent, la production de testostérone, hormone masculine s’affaiblit, la peur de la panne est alors présente.
La femme, tout en revendiquant son droit au plaisir est confrontée aux désagréments de la ménopause : bouffées de chaleur, migraine, sécheresse vaginale.
L’âge de la ménopause est une période de haute vulnérabilité sur le plan psychologique. Outre les différents désagréments énoncés précédemment, la femme doit assumer un certain nombre de deuils
dans une société pratiquant l’apartheid anti-vieux, où l’âge s’avère un handicap à bien des endroits.
Piégées par leurs corps qui n’attirent plus les regards, les femmes sont pour la plupart terrifiées à l’idée de vieillir. Celles qui ont existé à travers l’apparence, dans un dernier sursaut souvent pathétique, se laissent happer par la tyrannie du lisse. Traitement aux hormones, aux vitamines,
chirurgie esthétique, crème à modeler, à lifter, à sculpter, à mincir, tout est au menu du jour pour atténuer des ans « l’irréparable outrage ».

Crainte phobique de vieillir, départ des enfants, décès des proches, souvent de ses parents, maladie, perte de son intégrité physique voir psychique sont autant d’épreuves à traverser durant cette période. Faire le deuil des pertes inhérentes à cette tranche de vie serait plus facile à concevoir si la sagesse, l’expérience et la créativité féminines étaient davantage glorifiées dans notre société actuelle.

En Asie, la femme vieillissante est particulièrement vénérée car elle symbolise l’expérience, la connaissance de soi, le partage, et la transmission des traditions, aussi les cas de dépression dus à la ménopause sont-ils quasiment inexistants.
A quand un rite officiel visant à célébrer le passage de cette rive à l’autre ? Il est prouvé que les personnes qui adoptent une attitude positive face à cette étape de développement, la traversent de façon plus sereine avec une motivation accrue pour toutes les choses de la vie.

L’épanouissement peut être atteint par divers moyens, certains en couple ou seuls, trouvent leur bonheur en s’impliquant davantage dans leur vie familiale, en cultivant l’art d’être un aïeul aimant, en s’investissant dans des projets créatifs, en se découvrant de nouveaux passe-temps. Tous ces centres
d’intérêts nourrissent l’intériorité psychique et écartent les risques d’effondrement de soi liés à la
contrainte de l’âge.

Souvent, on vieillit, comme on a vécu : dans la tristesse ou la joie, dans la solitude ou l’action, dans la critique ou l’acceptation. Vieillir, c’est accepter de vivre chaque moment dans la simplicité, c’est aussi sublimer son quotidien avec la capacité de se remémorer ses multiples expériences positives et se souvenir combien la vie nous a donné et que même si ces choses ne sont plus, nous en avons bien profité."
*Michèle Freud est psychothérapeute et auteur de plusieurs ouvrages. Elle dirige également la
formation de sophrologues à St Raphaël dans le Var où sont animés également de nombreux
séminaires à thème, Voir les nouveaux programmes 2005-2006 sur son site 



dimanche 17 mai 2015

Mère de famille, un vrai métier

Changer de métier, « de salarié à #FemmeAuFoyer... une aventure si peu valorisée !
Le coaching peut être VOTRE solution pour accepter cette position et bien la mener ou se préparer à une nouvelle situation ! Avec le #CoachingPersonnel arrêtez de culpabiliser...
Sur le blog mamanstestent.com, Hélène raconte...

"Quelle est votre profession ?
 Coaching familial
Coaching Familial Marseilleb (13)
L’autre jour, j’avais rendez-vous chez Monsieur le Banquier de la Poste pour ouvrir un livret A à ma petite dernière, tradition oblige. Mais comme j’ai déménagé, il y a peu, Monsieur le Banquier n’a pas de dossier sur moi ni sur aucune personne de ma famille. Il m’explique alors bien gentiment qu’il n’a pas le choix, qu’il va devoir me poser tout un tas de questions pour constituer un dossier parce que, s’il ne le fait pas et qu’il est contrôlé, il sera sanctionné.

De bonne humeur et de bonne composition, je me prête au jeu, pas le choix de toute manière. Il a déjà mon nom, mon prénom et ma date de naissance vu que j’ai un livret. Et là, vient LA question fatidique : quelle est votre activité professionnelle ? Ça ne se voit pas, non ? Avec nain n°2 et ses petites voitures, et naine n°3 qui bavouille sur son jeu qui fait pouêt-pouêt ?

 Coaching Personnel 13
 Coaching Personnel 13

Je réponds donc très sincèrement :
 « Maman ». Mais « Maman », ce n’est pas une activité professionnelle, alors Monsieur le Banquier inscrit « Femme au foyer ». Je reviendrai plus tard sur cette expression qui m’horripile. Le questionnaire continue et vient la délicate question des revenus. Pour mon mari, c’est très clair, un CDI donc un salaire fixe tous les mois. Mais pour moi, c’est plus compliqué..."

 "... Je me repose la question « Maman, c’est vraiment un chouette métier, non ? »..."

"...Et quand je discute avec toutes les mamans « mères au foyer » à l’école, toutes souffrent de ce manque de reconnaissance finalement. On a souvent l’impression que :
soit on n’a pas été capable de faire des études et donc on ne peut rien faire d’autre de notre vie
soit on a fait des études et alors dans ce cas, on gâche notre vie à s’occuper de nos enfants (hein ma chère maman, à fond MLF, les femmes doivent pouvoir s’assumer sans les hommes?!?)
Et l’autre point, c’est qu’il est souvent difficile de faire comprendre que l’on a aussi besoin de souffler par moment. Et qu’on aimerait bien faire garder un peu nos chers bambins, histoire de ne pas s’oublier.

Alors il faudrait que je réussisse à dire aux gens, quand ils me demandent ce que je fais dans la vie, puisque c’est si important que ça, que je suis : « Responsable logistique dans une usine de production en flux tendu. Je hiérarchise des lessives, des courses, des allers et retours à l’école. Je produis des repas et des vêtements propres en permanence pour satisfaire mes trois clients : Naine n°1, 4 ans, Nain n°2, 2,5 ans et Naine n°3 6 mois et demi. » Respect ! Il y a d’autres possibilités : chef d’entreprise (surtout si on a une famille nombreuse), cuisinière en collectivité, infirmière, …

Et il faudrait aussi qu’on redonne un peu de galon à ces mamans qui choisissent de rester à la maison garder leurs enfants, pour profiter d’eux avant qu’ils ne grandissent. Mais aussi parfois parce qu’elles n’ont pas le choix parce qu’il est trop difficile de plein de point de vue de concilier travail, horaires de travail pourris, salaires, garde d’enfant…

Bref, je compte bientôt pouvoir répondre que j’ai ma propre entreprise et que je suis mompreneuse. J’ai pour projet de monter mon entreprise à domicile pour essayer de concilier au..."

lundi 6 avril 2015

Coaching professionnel, la souffrance au travail


 Coaching vie professionnelle
 Coaching vie professionnelle
La souffrance au travail et ses conséquences physiques et psychologiques sur les employés et les gestionnaires, ainsi que sur leur motivation et la productivité, constituent un enjeu social important qui a suscité l’intérêt des
chercheurs, des professionnels et
des médias au cours des dernières décennies.

 Coaching professionnel Aix-en-provence
 Coaching professionnel Aix-en-provence




Cet article tente de contribuer à cette discussion en mettant en lumière les conflits de valeurs que vivent régulièrement les gestionnaires et employés dans leur travail, et la souffrance que ces conflits peuvent générer.


Le recours à l’éthique appliquée, dans une perspective tant individuelle qu’organisationnelle, est présenté comme une façon d’atténuer cette forme de souffrance au travail.

Cet article est publié sur ethiquepublique.revues.org
et vous pouvez lire la suite ici...>>

mercredi 25 mars 2015

Salon S'EXPATRIER MODE D'EMPLOI

Profitez d'un salon qui vous permet de bien préparer votre expatriation le 27/03/2015 à la cité Universitaire de Paris. 

 Coaching multiculturel
Coaching multiculturel




Sous le haut patronage du Secrétaire d’Etat chargé du commerce extérieur, de la promotion du tourisme et des Français de l’étranger, la Journée "S’expatrier, mode d’emploi" est un salon qui réunit les acteurs institutionnels majeurs de l'expatriation et de la mobilité internationale.









 Coaching expatriation
 Coaching expatriation



Pour réussir son #expatriation, la préparation au départ est primordiale ! 


D’où l’importance de ce salon, au cours duquel vous pouvez vous renseigner sur toutes les démarches à réaliser avant de partir (impôts, retraite, démarches juridiques, protection sociale, l’assurance chômage, emploi, etc.)...











Le mal du retour des expatriés ?

A la veille du Salon « S’expatrier : mode d’emploi » à la Cité Universitaire de Paris le 27 mars prochain, #LesÉchos se penchent sur une problèmatique pour l'entreprise, concernant les difficultés du retour des expatriés...

"47% des expatriés quittent l’entreprise dans les deux ans suivant leur retour. Mal anticipés ces départs sont pénalisants pour les DRH rappelle Caroline Degrave, consultante RH, à la veille du Salon « S’expatrier : mode d’emploi » à la Cité Universitaire de Paris.
Le retour des expatriés est une question sous-traitée par l’entreprise . Très bien gérée sur le plan technique (salaire, assurance, logement, déménagement, scolarité etc.), l’entreprise néglige l’aspect managérial de l’expatriation :

 Coaching accompagnement au changement
 Coaching accompagnement au changement
« De profonds changements s’opèrent pourtant sur les profils avec l’acquisition de nouvelles compétences et d’autres motivations », souligne Caroline Degrave.

Or les DRH anticipent peu leur retour car durant quelques années ces salariés sont sortis de leur radar. Facteur aggravant, pendant ce même laps de temps, l’entreprise change (encadrement, hiérarchie, localisation, activités etc.) et les projections faites avant son départ n’ont plus cours, d’autant que les réseaux internes du collaborateur
sont devenus obsolètes, inaptes à le renseigner.

De fait, les expatriés ne sont pas prioritaires sur les postes ouverts. Seuls 19% des expatriés originaires d’Europe de l’Ouest ont été accompagnés dans la démarche de réadaptation. Plus dommageable, 47% des salariés expatriés quittent leur entreprise au bout de deux ans, souvent sur proposition de la DRH....
L’entreprise a pourtant tout à gagner à mieux à retenir ces talents : « Ces personnes reviennent fortes de nouvelles compétences (encadrement d’équipes multiculturelles, connaissance d’un nouveau marché, développement d’un réseau etc. ) qui sont autant d’opportunités de développement dans leur domaine », souligne Caroline Degrave.

Reste que ces expatriés, qui représentent moins de 1 % des effectifs monde des grandes entreprises, ne pèsent pas lourd auprès des DRH.
Résultat : les entreprises ne développent pas de process en la matière. Toutes, y compris les plus grandes, font du sur-mesure, a fortiori lorsque le retour est accéléré par des raisons géopolitiques ou encore climatiques.
 Retour pays d'origine
 Retour pays d'origine
Ce qui explique peut-être le moindre 
entrain des salariés à rentrer au pays
selon un récent baromètre Humanis, 68 % d’entre eux 
n’envisagent pas leur retour en France ....
Une seule catégorie toutefois échappe aux affres du retour : 
les hauts potentiels, car leur retour au siège est programmé et attendu  de longue date.




Principales difficultés

  • Le pays a évolué (gouvernement, législations, etc.) ou est... demeuré le même. 
  • L’entreprise a muté (hiérarchie, produits, activités, systèmes de rémunération...). 
  • Les collègues ont changé (promotions, jeux de pouvoir, départs). 
  • Tout est à reconquérir : la confiance des supérieurs, des homologues, des clients, des collègues, de soi-même. 
  • D’autres objectifs doivent être fixés pour redessiner des perspectives. 
  • L’expérience d’expatriation n’intéresse personne. 
  • L’entourage familial et amical a pris ses distances. 
  • Souvent sans emploi, le conjoint souffre de solitude (comme au moment de l’installation à l’étranger bizarrement), privé du rassurant réseau des « expats ». 
  • Le mal du retour peut aussi toucher les enfants adolescents qui « découvrent » leur pays d’origine. 
  • Le niveau de vie chute parfois considérablement.

Source business.lesechos.fr


lundi 16 mars 2015

Les enjeux de l'Expatriation

"La diversité de chacun fait la richesse de tous ". Julos Beaucarne

Les enjeux d'une expatriation
Un changement de pays, ne peut pas se prendre à la légère. Une expatriation, par choix personnel ou professionnel, entraîne une série de défis et de changements : environnement, coutumes, culture, mentalités et modes de vie différents. Ces changements engagent la personne expatriée mais aussi le couple, la famille. Un manque de soutien peut avoir des conséquences sérieuses sur la vie professionnelle, conjugale ou familiale ainsi qu'une perte de temps, d'énergie, d'argent…

 Coaching expatriés et impatriés
 Coaching expatriés et impatriés
Tous ces bouleversements peuvent mettre en péril votre équilibre personnel et fragiliser votre capacité d'ouverture à la différence culturelle. L'expatriation est un changement majeur qui se prépare.

En tant que professionnel expatrié, vous êtes confronté à des défis en termes d'intégration culturelle, changement d'horizon professionnel, prise de poste, équipe multiculturelle et gestion de votre famille.

En tant que conjoint d'expatrié(e), vous devez affrontez des difficultés et des frustrations telles que la mise en parenthèse de votre carrière, l’intégration dans le nouvel environnement, le mal du pays, la recherche d'un nouveau travail, la difficulté à vous adapter à des nouvelles conditions de vie, le sentiment de solitude et la déprime, la déstabilisation dans l'équilibre familial.

En tant qu'enfant d'expatrié, vous ressentez un  sentiment d'injustice ("Je ne voulais pas laisser mon pays, je n'ai pas eu le choix "), et de solitude (perte d'amis), ainsi qu'une incompréhension du nouveau système scolaire et social, qui engendre une perte de repères, un manque de confiance de soi.

Pour résoudre au mieux toutes ces difficultés, je vous propose de vous accompagner sur le plan professionnel, personnel et/ou familial, dans :

- La recherche des ressources personnelles et professionnelles inexploitées, indispensables à une bonne intégration, efficacité dans votre nouvel environnement et/ou entreprise basée à l'étranger.
- La recherche des "clefs" permettant de trouver une complémentarité dans les différences culturelles.
- L'exploitation de vos talents, compétences, expériences, valeurs, points forts : ce sont des ressources essentielles pour l'atteinte de vos objectifs.
- La recherche de la synergie et cohérence entre votre propre identité et celle de l'étranger



lundi 2 février 2015

Coaching vie professionnelle

« La distance entre vous et vos rêves s'appellent l'action… »
Un coaching pour quoi ?
Un coaching pour qui ?

Vous avez un projet ou un objectif professionnel ?
Vous voulez entreprendre un projet, mais vous ne savez pas par où commencer ?
Vous recherchez la performance et la durabilité dans ce que vous entreprenez ?
Vous ne voulez plus de conseils et recherchez votre propre plan d'action, un plan qui vous convienne et où vous vous sentez à l'aise ?
Vous voulez atteindre un objectif avec plaisir et énergie ?
 Coaching vie professionnelle 78Vous êtes à la recherche d'un emploi ?
Vous souhaitez une reconversion professionnelle ?
Vous recherchez équilibre et performance dans votre nouveau poste ?
Vous voulez réussir votre prise de fonction ?
Vous cherchez la collaboration dans votre équipe de travail ?

Je vous propose de vous aider à booster vos objectifs et projets, de la prise de conscience de votre potentiel à l'accompagnement vers une stratégie adaptée, soutenue par des outils et méthodes reconnues, dans une véritable relation d'échange et de complicité.

Coaching professionnel 78...>>

jeudi 22 janvier 2015

Expatriation : un apéro Mardi Expat à Paris

Vous avez vécu dans un pays étranger ? Vous allez bientôt vous expatrier ?
Ou bien vous êtes tout simplement à la recherche d’informations sur l'expatriation ? 

#Lepetitjournal.com vous convie


Mardi 3 février, à son premier Mardi Expat
une rencontre mensuelle et informelle entre expatriés.   

 Coaching expatriés impatriés

Le concept est celui des célèbres et branchés afterworks. Sous la houlette de l’équipe du site lepetitjournal.com, vous êtes invités à vous retrouver autour d’un verre et à partager vos récits et expériences d’expatriation, en toute décontraction. 
Que vous soyez de retour, sur le départ ou simplement à la recherche d’informations, Mardi Expat sera l’occasion pour vous de vous renseigner sur un pays ou de partager vos impressions sur la vie à l'étranger.

L'expatriation est souvent une expérience très riche, qui peut changer notre regard sur la France. Une aventure que paradoxalement, il peut-être difficile de partager. De plus, se rencontrer entre anciens et/ou futurs expatriés n’est parfois pas une mince affaire. 

Ce rendez-vous mensuel se déroulera chaque premier mardi du mois au Delaville Café dans le Xème arrondissement de Paris. L’inscription, d’un montant de 10€, se fera sur la page Facebook de l’événement et vous donnera droit à un verre offert. Les personnes expatriées seront munies de badges permettant d'identifier rapidement les destinations des uns et des autres. Celles n'ayant encore jamais vécu le départ auront également un badge permettant d'identifier leur situation et donc leur besoin d'informations. Un tirage sort verra également l'un des participants se faire offrir une nuit pour deux personnes avec petits déjeuners à l'hôtel Saint-Paul Rive Gauche, situé dans le 6ème arrondissement. 

Venez et faites signe à vos amis. Nous vous attendons nombreux ! 

Infos pratiques
Mardi 3 février 2015, à partir de 19h
Delaville Café - 34 boulevard Bonne Nouvelle (métro Bonne Nouvelle) - 75010 Paris
Entrée 10€ avec un verre offert
Happy Hour de 19h à 22h 



Coaching professionnel

« Le Coaching permet la performance de l'efficacité professionnelle et l'accompagnement de périodes professionnelles complexes telles que : les projets difficiles, les périodes de crise, les fusions, les acquisitions, les transitions, les mutations, les promotions, les conflits, les expatriations, les impatriations, les reconversions, les mutations, les retours de congé maternité ou de congé parental. » 

Je vous propose de vous aider à booster vos objectifs et projets, de la prise de conscience de votre potentiel à l'accompagnement vers une stratégie adaptée, soutenue par des outils et méthodes reconnues, dans une véritable relation d'échange et de complicité.